27/12/2010

Quatre (sic) récits se suivent dans une ambiance mêlant empathie, prescience, rêve, hallucination et réalité. Les personnages évoluent dans une ambiance glaciale où la manipulation est omniprésente. Les auteurs décrivent le monde contemporain et les rouages d'une multinationale, questionnant à travers leurs héros le libre-arbitre de l'individu dans un monde professionnel assoiffé de pouvoir.


CLEER – Une fantaisie corporate, dans les notes bibliographiques (décembre 2010).
Amusant comme les lecteurs ne parviennent pas à se mettre d'accord sur le nombre de récits dans le livre.

19/12/2010

La version en ligne de la chronique dans Chronic'art est un peu différente de la version papier.

Qu'est-ce que Cleer ? Une marque, ou une sur-marque, un méta-label apposé à un ensemble de produits capitalistiquement corrects. C'est aussi, selon ses dires, l'employeur de Kloetzer, psychologue du travail de formation.

22/11/2010

Chronicart parle de CLEER / Une fantaisie corporate dans son numéro 69.

Si les personnages principaux n'étaient pas d'ambitieux cadres aux ressorts égoïstes, on finirait par croire à la sainteté du système.

19/11/2010

Jérôme Vincent et Eric Holstein, d'ActuSF, ont lu CLEER / Une fantaisie corporate
Ils publient aussi une interview.
Et à cet égard, l’engagement de l’entité littéraire L.L. Kloetzer demeure ambigu. On perçoit mal s’il regrette ce point mort éthique qui se déguise en culture d’entreprise, ou s’il y voit un salut providentiel, c’est peut-être le seul regret que l’on pourrait formuler à l’égard de ce roman par ailleurs tout à fait remarquable. Puissamment elliptique à défaut d’être visionnaire, lucide dans son fantasme corporate. Brillant et intrigant.

08/11/2010

La librairie Critic, de Rennes, recommande CLEER / Une fantaisie corporate.
Le roman francophone de l’année. Cleer est un concept, une idée flottant dans l'éther, une pure lumière, une bouffée d’air frais dans la production actuelle.

06/11/2010

La foudre olympienne s'abat sur CLEER / Une fantaisie corporate.
On s’aperçoit dès lors de l’actualité des thématiques introduites : vague de suicides, catastrophe écologique, OGM et fichage génétique sont bien des préoccupations contemporaines, chacun en a entendu parler. Ainsi, Cleer se veut un ouvrage inscrit dans son époque, collant de près à ses problématiques. L’ouvrage se voudrait aussi une critique contre les multinationales, ces dernières étant à la base des phénomènes destructeurs évoqués, mais cet aspect n’est qu’un rabâchage des arguments qu’on a pu entendre ici et là : empiètement sur la vie privée, pratiques douteuses pour protéger l'image, valeurs communes au groupe, délocalisation quand tout va mal. Même le système OBO ne m’a pas fasciné. Seul le psychologue/gourou Karenberg demeure obscur quant à son vrai rôle : est-il seulement un charlatant bien plus que doué, ou alors la caricature des plans de recrutement des entreprises, planifiant tout jusqu'au contact humain ?

04/11/2010

Un livre ISO 9001 selon Gromovar qui a vu dans CLEER / Une fantaisie corporate des résonnances bibliques cachées.

Car tel Moloch dévorant les enfants de Carthage, Cleer exige une soumission totale. Passé les quelques premiers moments de normalité, Cleer détruit les allégeances antérieures, considérées comme secondaires. Plus de famille, plus d’amis, plus de loisirs. Seulement le monde comme perturbation, la politique interne, l’évaluation permanente, le charabia conceptuel de la méthode Karenberg et de son gourou Göding (Dieu ?), le vocabulaire spécifique de la firme qui rappelle qu’Orwell déjà écrivait que contrôler la langue c’est contrôler l’Homme. Le monde se déréalise pendant que Vinh, efficace, politique, et impitoyable, fuse vers les niveaux supérieurs, tournant définitivement le dos à la glaise, et que Charlotte, empathe hypertrophiée, choisit d’y retourner. Cleer demeure. Pont jeté entre le Ciel et la Terre, ne poursuivant que ses incompréhensibles fins.

29/10/2010

La plus belle chronique dont on puisse rêver, par Serge Lehman, dans le monde des livres.
Il y a deux décennies, Jean Nouvel projetait de construire à la Défense une "Tour sans fin" dont il résumait ainsi l'ambition : "Il faut qu'elle disparaisse dans le ciel." En situant l'action deCleer, son quatrième roman, dans cet immeuble jamais construit, L. L. Kloetzer ne se contente pas de saluer un rêve de bâtisseur inassouvi ; il en souligne aussi l'étrangeté utopique dans un monde où le désir de transparence est devenu suspect.

21/10/2010

Une série télé trop courte et des personnages sexistes : la lecture de CLEER / Une fantaisie corporate, par Fifokaswiti.
Est-ce pour autant un livre incontournable ? Non. La simplicité relative du propos sur la moralité des multinationales (hors de l'intrigue sous-jacente sur ce que sont et veulent Cleer et ses avatars Ripley et Göding), le caractère de stéréotype des personnages, la précipitation de la conclusion font que l'on reste un peu sur sa faim.

17/10/2010

Efelle a lu CLEER / Une fantaisie corporate.
Surprenant et très plaisant à lire, CLEER s'avère une excellente surprise. Le mélange hallucination réalité est amené à chaque fois de manière très progressive, avec légèreté, et s'est avec plaisir que l'on découvre le désarroi des protagonistes dans leur cheminement vers la lumière. Un roman qui se dévore d'une traite et sans doute une de mes meilleures lectures 2010.
Une nouvelle chronique de CLEER / Une fantaisie corporate sur la noosfere, signée Gaétan Driesden.
Par ailleurs, la chape de plomb qui recouvre le nom de la société — Cleer — reflète l'ambiance lourde de mystère émanant du texte. Jamais un personnage ne le prononcera. Le lecteur lit des plaques, des cartes, des affiches, mais jamais un acteur du roman n'en parlera autrement que par le terme respectueux, mais générique de « Groupe ». Pourquoi un tel écran de fumée ? Les enjeux sont-ils tellement importants que le cloisonnement et le secret (autant pour les personnages que pour nous) sont indispensables ? Ou, à partir d'un certain degré de déshumanisation, ces grandes sociétés sont-elles interchangeables ? Rien n'est vraiment clair chez Cleer...

14/10/2010

TiberiX a mis CLEER / Une fantaisie corporate sur sa pile.


ce roman est beau, subtil et progresse comme un boléro de Ravel assez dérangeant. Bref, à savourer de toute urgence

06/10/2010


Une belle formule de Serge Lehman (inspiré par A.C. Clarke). Merci à lui.

Tout management suffisamment avancé est indiscernable de la magie.




Henri Bademoude a chroniqué CLEER / Une fantaisie corporate sur D&D.
La réalité de ces gens est tellement bizarre qu’on s’y intéresse malgré le héros antipathique et la philosophie ambiguë qui semble sourdre entre les lignes, que le futur n’est pas pour tout le monde, que l’idéal de pureté blanche peut être atteint par les moyens les moins éthiques, qu’il y a autant de portes de sortie que de personnages mais aussi que l’esprit humain est capable de grandes choses, aidé ou pas par la machine, qu’il peut imaginer et halluciner, faire des choix, et, peut être, en renonçant, être libre.

02/10/2010


Chronique de CLEER / Une fantaisie corporate sur le cafard cosmique.


Splendide pastiche du style entrepreneurial, peinture utile d’un univers inhumain, Cleer relevait de la gageure, et il fallait bien la légèreté de plume des Kloetzer pour savamment fusionner la fantasy à ce monde de verre. Le style onirique, propre à cet auteur immanquable de la fantasy française, est bien au rendez-vous. Point d’intrigue menée tambour battant, ponctuée de péripéties toutes plus improbables les unes que les autres, mais un intérêt constant, une curiosité subtilement entretenue qui entraîne le lecteur jusqu’à un dénouement final vivement attendu.

27/09/2010


Critique de CLEER / Une fantaisie corporate par René-Marc Dohlen, sur la noosfere.

Même si Cleer est une entreprise fantasmée, la justesse de ton de LL Kloetzer ne pourra qu’impressionner ceux qui travaillent au sein de grandes sociétés. Du vocabulaire corporate aux luttes de pouvoir entre collègues, des petits problèmes quotidiens aux meetings impromptus, tout est efficace et agrippe le lecteur jusqu’à la fin, avec, comme toujours dans les textes de Laurent Kloetzer, une écriture d'une fluidité totale. (...) Cleer, transfiction d’entreprise, par son originalité, son souci de réalisme et les idées qu’il développe est une expérience unique, et l’on ne peut qu’espérer que LL Kloetzer y revienne dans d’autres récits pour nous dévoiler les autres visages de cette multinationale.

26/09/2010


Un quatrième extrait.



Making of / collaboration

Nous avons élaboré ensemble la structure des récits. J'ai rédigé un premier jet, soumis au regard de Karol. Karol a un sens esthétique très sûr. Ce qu'il y a de bon dans le style du livre dont vous lisez les extraits vient de lui.

Karol aime les gens, il sait les regarder et les écouter, comprendre ce qui les fait courir. Il fait vivre dans ces récits ceux qu'il a connus. Ce qu'il y a de plus vivant dans les personnages du livre vient de lui.

Karol a une forme de grâce. Une pureté de regard. Non pas de l'innocence, plutôt quelque chose comme l'épée de Saint Paul qui découpe nos habits de chair. Il n'est pas monté très haut (montera-t-il jamais ?) mais il a compris la nature du monde dans lequel il vivait, sans pouvoir autant s'en dégager.

Inutile de dire que collaborer avec lui a été enrichissant.

Karol est l'auteur du livre autant que moi (et tant pis mon gars si dire cela te coule en interne). Je lui ai proposé de signer le livre mais il a refusé pour des raisons que vous pouvez comprendre. L'initiale double rappellera donc les bégaiements et la nature double de la création.

Karol, on recommence quand tu veux.


24/09/2010


Le livre est arrivé. Daylon en a exposé quelques photosLes choix graphiques du gérant du moonmotel avaient normalement tout pour déplaire à notre partenaire : rupture du code couleur corporate blanc/bleu vers un jeu gris/bleu métallique, éclatement en rouge de l'équilibre, déstructuration du logo, reprise ludique des antiennes marketing.
Quand Daylon a proposé ça, j'y voyais une manière un peu puérile d'attirer leur attention, de dire "regardez ce que je fais avec vos jouets", une gentille provocation, en résumé. Channel est sensé attirer les meilleurs esprits créatifs, pas les imitateurs serviles et Karol me disait que ce boulot leur plaisait, en interne. J'espère que les retombées pour Daylon seront positives. Tout cela me paraît excellent.

Making of / le projet

Au delà du rêvé évoqué plus tôt, voici le projet tel que nous l'avions noté : un récit épique sur les entrailles de CLEER. Pas une critique, pas un pamphlet, pas une millième condamnation des grandes méchantes entreprises. Non. Les multinationales sont misérables et déficientes, mesquines comme une troupe d'infanterie, tristes comme des corbillards vêtus du gris, tout le monde le sait. Toutes sauf une. Toutes sauf CLEER. Alors nous voulions écrire la geste de son combat pour l'efficience, pour la pureté des procédures, des raisonnement, de ses luttes contre un monde lourd et pesant. Écrire dans toute la lumière et toute la vérité de la fiction.


23/09/2010


Un autre extrait.


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Je n'ai pas encore vu le livre, la poste ne l'a pas livré. Étrange conséquence: avec ce blog, je commence à construire pour moi le livre imaginaire. Le reflet céleste du roman terrestre, celui dont le fichier PDF n'est qu'une incarnation imparfaite, le Coran ésotérique.  CLEER / le roman céleste / capture quelque chose de la puissance, du rayonnement, de la puissance du Groupe. Ce roman rêvé vous fait sentir quelque chose de la puissance transcendante d'un certain monde professionnel. Une voie d'élévation spirituelle nouvelle. Si Saint Ignace de Loyola avait vécu au 21ème siècle, il aurait bossé pour Cleer / Cohésion Interne avant d'y mourir en martyr.


22/09/2010


Making of / Karol

Karol n'est pas auteur, pas éditeur, il n'a rien à voir avec le petit milieu futile et rigolo de l'édition de genre.

Je l'ai connu en école d'ingénieur. Karol est rôliste et a beaucoup de goût en matière de musique. Comme la vie est faite de coïncidence, je l'ai recroisé au moulin d'Andé. Donc puisque le ciel en avait décidé ainsi, nous sommes devenus amis.
Karol est créatif et enthousiaste et il a cru pouvoir couler son tempérament artistique (l'expression est de lui) dans une grosse structure. Karol aime, admire, révère CLEER. Il prétend qu'il s'agit d'un sentiment rationnel, admiration pour l'élégance, le talent, la puissance visionnaire érigée en système. Il reste ancré dans ce sentiment même après avoir bu.

Il reste lucide toutefois puisque nous avons projeté le livre ensemble.
Quelques jours de rêve au moulin. Novembre, la brume, un concert de tango/klezmer particulièrement réussi. On avait rigolé en se racontant des histoires professionnelles horribles. J'ai imaginé une version vicieuse de X-Files où les agents du FBI seraient remplacés par des consultants de Mc Kinsey. Il m'a dit que la vérité serait bien plus intéressante et il m'a parlé de Cohésion Interne et on a senti qu'on pouvait en faire un livre.

21/09/2010

Un très beau commentaire du livre, sur le blog notes de train.



Teoz Eco, 13h38, voie F. C’est censé être un train de nuit mis à rouler en plein jour, avec un tarif réduit et une poignées de minutes en plus pour faire le trajet. Mais de l’extérieur, c’est une ancienne carosserie Corail blanche à bande verte-orange, et non bleu foncée. Dans les wagons par contre ce sont bien les sièges inclinables et malpratiques du train de nuit. On peut avoir une couchette, aussi, mais en première classe seulement. Je vais m’installer de travers, comme les autres, pour poser mes pieds sur le truc rétractable qui me scierait les mollets, sinon, et je serai très bien pour entamer CLEER / une fantaisie corporate, de L.L. Kloetzer.
Helena, pour Pensez A Eux, bonjour!
OBO: Madame Louwerse. Etat émot.: vert.
Contente de vous entendre, madame Louwerse. Nous allons faire tout ce que nous pouvons pour vous aider.
OBO: Information insuffisante. Compléter avec humour. Transformation: 80%.
Dites-m’en un peu plus sur vos amis: leur nom, leur adresse, leur signe astrologique…
OBO: Proposer articles d’extérieur. Basculer ensuite vers linge de maison.
Oui, leur lieu de résidence… Ils ont bien un jardin, n’est-ce pas?
OBO, le robot psychologue connecté en rich-network continue de guider les filles du centre d’appel de l’entreprise de cadeaux pendant qu’on passe La Souterraine. La fille assise devant moi a déjà trois heures de Teoz Eco dans les pattes, ça se sent, elle s’est étalée avec toutes ses affaires, son mp3 lui grésille dans les oreilles jusqu’aux miennes, elle bouge tout le temps. Jogging gris clair, bottes en peluche tigrées, maquillage à paillettes, immenses boucles d’oreilles, cheveux crêpés. IMC < 16, âge ≤ 19. Elle est gentille: elle a dit « ça fait rien » quand j’ai brutalement poussé son fauteuil sans le vouloir.

Premier extrait de CLEER à télécharger.

Si quelqu'un à des conseils pour produire un epub correct, je suis preneur.

20/09/2010

Un autre retour sur CLEER / Une fantaisie corporateArcaneSFantasy (Philémont)
Puisque les deux personnages principaux sont des consultants recrutés pour leur efficacité, Laurent KLOETZER fait le choix d'une narration survitaminée dans laquelle chaque phrase, chaque mot, est à sa place la plus juste, donnant dans les moments les plus palpitants un style télégraphique du plus bel effet. Car Charlotte et Vinh sont de véritables détectives au service de CLEER, et en tant que tels n'ont pas le temps de se perdre dans des digressions plus philosophiques, ni même intimes. Citons aussi un travail de mise en page adapté au récit, lui donnant des allures d'un rapport présenté sur slides à des administrateurs exigeants, la marque « CLEER » étant rappelée régulièrement sous une forme ou sous une autre.

19/09/2010



Gilles a diffusé les épreuves autour de lui conformément à son usage. Nous avons déjà eu quelques retour, alors que le livre n'est pas encore paru. Je me demande ce qu'en pensent nos partenaires.

L. L. Kloetzer livre avec CLEER une oeuvre atypique, comme ses personnages, un techno-thriller de premier plan, en phase avec le monde d'aujourd'hui et déjà de demain. Le monde de l'entreprise hyper technologique est ici dépeint avec une acuité et un réalisme rarement égalé.



18/09/2010

Le projet, tel que je l'ai rêvé : le livre s'appelle CLEER / Une fantaisie corporate. Il raconte de l'intérieur la vie de la multinationale du même nom. J'y pense depuis longtemps, depuis que j'ai vu l'affiche. Il décrit l'essence même du capitalisme moderne, une entreprise tirée vers l'abstraction, une idée pure incarnée dans le monde économique, une aspiration mystique vers le vide. Il y a deux personnages : un grand Vietnamien ambitieux et une femme, plus fragile. Face à eux, toute résistance est inutile, l'ombre laisse place à la lumière et les actionnaires gagnent de l'argent.

17/09/2010


Le livre n'aurait jamais vu le jour sans le soutien de Gilles Dumay.


C'est lui qui, à la lecture d'éléments extrêmement partiels du roman, m'a encouragé à mener à terme ce projet unique d'écriture en association avec une grande société.
Gilles a distingue immédiatement que CLEER / Une fantaisie corporate, bien qu'écrit en symbiose avec une société mondialement connue, ne relevait ni de la publicité, ni de la communication d'entreprise, mais bien d'une tentative romanesque de rendre la vérité du monde économique.
Qu'une chose soit claire : à aucun moment, la société dont nous tentons de rendre compte n'a influencé le contenu, le design, la diffusion du livre. La présence d'une personnalité comme Gilles dans ce projet était pour moi la garantie d'une véritable intégrité artistique.
Le blog de Gilles, donnant l'actualité de la collection Lunes d'encre chez Denoël, peut-être suivi à l'adresse suivante.




CLEER, par L.L. Kloetzer (2010) | illustration/conception de Daylon

Aussitôt l'éditeur séduit par le projet du livre, nous avons cherché un illustrateur. Et le même nom nous est venu à l'esprit : Daylon.

Je suis le travail de Daylon depuis longtemps sur le moonmotel. En plus d'être un photographe doué (ses portraits ne cessent de m'étonner), Daylon prolonge la vision du monde qui transite dans ses photographies dans ses nouvelles. Son écriture n'est pas d'accès facile mais celui qui s'y plonge trouvera des trésors.

Pour suivre Daylon photographe (et auteur), une recommandation évidente : le Moonmotel.

Moonmotel

Le travail de Daylon sur CLEER / Une fantaisie corporate peut être apprécié au bout de ce lien. J'en recommande la lecture même si elle ne rend pas justice à tous les mails reçus durant l'élaboration du projet de livre. Projets de logos, idées de design, choix des couleurs... Et design du logo (transposé) de la société.

16/09/2010


Rien d'étonnant dans ce blog : soutenir la parution toute proche CLEER / Une fantaisie corporate, aux éditions Denoël, collection Lunes d'encres.

Au programme : présentation de l'auteur, du designer, de l'éditeur, des sponsors (une première, dans mon cas). Revue de presse éventuelle, extraits à télécharger.

J'essaierai de poster régulièrement et, une autre première dans mon cas, d'utiliser intelligemment facebook et divers réseaux sociaux.
Vos retours sur cette puissante stratégie marketing seront bien sûr très appréciés !

Et n'oubliez pas : soyez vous-mêmes.


Cleer - illustration - logotype