J'avais pensé à tort qu'un tel choix de thématique ne pouvait ouvrir qu'un discours critique sur le monde contemporain, mais les Kloetzer se sont plutôt engagés à nous projeter dans un univers complet, bâti de ses propres mythes.
C'est ambigu : ça ressemble au monde réel, mais c'est vraiment un autre monde, infiltré d'un fantastique discret.
Pour parler du principe, c'est un peu comme si, par exemple, Apple, au lieu de créer une image pour faire vendre sa marque, ETAIT vraiment sa propre image (le corolaire, c'est que les employés de Cleer doivent incarner Cleer en étant eux-même -"be yourself")
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